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Quand on est engagé dans les affaires de ces satanés pays, on n'en sort plus. Je me porte bien, mais il me blanchit un cheveu par minute, et depuis le temps que ça dure, je crains d'avoir une tête comme une houppe poudrée.
C'est désolant, cette trahison du cuir chevelu, mais qu'y faire ?
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Arthur RIMBAUD, lettre du 21 avril 1890 à sa mère