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Sur du vent - Page 314

  • Par DESSUS les HAIES

    Maintenant que les balises y sont toutes posées, on peut entreprendre la virtuelle randonnée du Chemin des Poètes de Durcet, dans l'Orne. Le rendez-vous est ici:
    http://biloba.over-blog.com/

    On y verra que, grâce à l'ami Jean-Claude TOUZEIL, et en dépit de l'humidité des sentiers, la poésie, comme les passereaux, s'affranchit des ornières et survole sans peine les haies bocagères.

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  • AUTRE CHOSE

    Les éditions Arfuyen publient un ouvrage proposant de lister les définitions possibles de la poésie.
    Le titre est - soufflé par GUILLEVIC - "la poésie c'est autre chose".

    On n'aurait su mieux dire...

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  • IL n'y a QU'à ECRIRE

    "Enfants, nous étions peintre, modeleur, botaniste, sculpteur, architecte, chasseur, explorateur. De tout cela qu’est-il devenu?
    Il y a cependant un moyen, au centre même de la maturité, de retrouver ces possibilités perdues. [...] Ce moyen, c’est la littérature.
    Il n’y a qu’à écrire l’œuvre peinte ; il n’y a qu’à écrire la statue.
    La plume à la main - si seulement nous voulons être sincères - nous retrouvons tous les pouvoirs de la jeunesse, nous revivons ces pouvoirs comme ils étaient, dans leur naïve confiance, avec leurs joies rapides, schématiques, sûrs. Par le biais de l’imagination littéraire, tous les arts sont nôtres."

    Gaston BACHELARD, joignant le geste à la parole (la beauté du geste au vin de la parole), a ainsi bâti son oeuvre, convoquant les quatre Eléments, les Arts, les Philosophes, au service d'une pensée simple et gratifiante, comme un carré de courgettes.

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  • STEAK BARBARE


    La suggestion du jour: steak
    Pour les végétariens: pastèque


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  • PRINTEMPS LEVE-TOI BIEN VITE

    Comme sous le clairon du forsythia
    au pas de l'oie le printemps se radine

    D'une même immodestie
    un botaniste lui légua son patronyme


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  • NOM de DIEU

    Du dernier REDA:

    "Chaque soir, aux grands arbres noirs, mon église assemblée
    Accroche des fruits d’encre et, pour le Qui-n’a-pas-de-nom,
    Broie et fait écumer sa diphtongue dans un vacarme."

    On l'entendrait vibrer d'ici, ce murmure un peu sinistre.


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  • Il y a HOTESSE et HOTESSE

    Maintenant que l'on a fait des caissières des hôtesses de caisse, je préconise que toutes les barrières se changent en hôtesses de bar!

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  • La CHOUETTE et le MARIN

    Selon Georges HENEIN, "écrire est une façon de veiller.
    De veiller sur soi et de veiller tout court. A rêves déployés.
    Une chance de rester pur. Ou moins impur".

    Le retrait et l'acuité de la chouette.

    Puis, la poésie "est vouée à la recherche inquiète et incessante de l'autre lieu, elle ne peut choisir pour halte ni pour demeure le centre de gravité d'un monde pareil à un énorme chantier."

    L'exaltation de la terre inconnue, et le mépris de celle que déjà l'on travaille.


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