la réalité
simple vestige
sous l'empire du préjugé
Rome
sous Rome
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la réalité
simple vestige
sous l'empire du préjugé
Rome
sous Rome
St Germain
sous les pavés le jazz
en volutes
et la strate
enfouie à jamais
des prés
sans tain
le visage du fou
où ne pas se retrouver
se noyer
d'être privé de reflets
le coin des enfants
préservé des bémols
sans aucune touche de noir
le jardin rit
dans les aigus
La vie se cachait encore sous le boisseau, mais les frères ont fait de ce foyer un refuge
d'où fuser quand il fut temps, dans l'imitation des étincelles, mais avec une ambition d'étoiles filantes,
puis une mémoire, où reprendre attache aux moments où la nuit gagne, imposant son inertie
Le soleil allume nos jours et leurs travaux, éclaire nos idées, en gorgeant de sucre leurs meilleurs fruits
dans la promesse de son retour on s'endort et chaque matin sa fidélité réchauffe de son lait
rayonne de bons soins, prunelle pour nos yeux, sève pour nos bras, jusqu'à la pulpe de nos doigts
terre ferme
je me réveille
comme s'essouffle l'albatros
le pied au plancher
nœuds du réel
jusqu'à la plus petite goutte
les versets se déversent
du Coran
conquête intérieure
point final