Après 384 strophes, notre poème poursuit son déphasage, mais aligné sur d'autres lunes.
Quant aux rebonds poétiques, toujours incessants et imprévisibles !
C'est sur X... hum, disons plutôt Twitter : @HenriChevignard.
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Après 384 strophes, notre poème poursuit son déphasage, mais aligné sur d'autres lunes.
Quant aux rebonds poétiques, toujours incessants et imprévisibles !
C'est sur X... hum, disons plutôt Twitter : @HenriChevignard.
Du nouveau sur le réseau zozio : @LePoemeDephase ne gazouille plus (les archives chantent encore !).
Mais Le Poème Déphasé poursuit son vol chez @HenriChevignard sous la rubrique #LePoèmeDéphasé, avec un gazouillis tôt le matin.
Comme par exemple ici :
concerto
pour violon
virtuose
pluie
de cordes
obsédantes
la poésie
qu'elle soit une pluie
insistante
et même calamité
par nécessité
Les vents sont capricieux et l'activité s'est peu à peu deplacée vers Twitter ces derniers temps...
Disons que les deux terrains de jeu sont complémentaires.
Rappelons qu'il y a, sur le réseau social musqué, le compte @HenriChevignard où l'on peut voir des choses commes ceci :
... et aussi @LePoemeDephase, où l'on peut voir des choses comme cela :
Et pendant ce temps-là, Sur du vent continue ! De quoi faire
une bonne année !
dans le travail
des dents
qui agrippent
puis une vibration
glissant
au loin
dans le verre
un son
minimal
dans la cage
des hasards
de couleurs
musique pour cordes
percussions
et caetera
non
et célesta