polychromes
saints
en réserve
du dieu
unique
déchu
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polychromes
saints
en réserve
du dieu
unique
déchu
charpente
à l'abandon
toiles d'araignées
les muscles
pris
les pensées
flottantes
tout le corps
porté
par les cuisses
les mains
en volutes
tutoyant le vide
journées
répandues
en vain
sur le sol
les semelles traînent
loin des sèves
un pied
huit pouces
d'air
soufflé
d'âme
vide
d'un bambou
poésie
dite
à happer
dans son lit
lue
à savourer
attablé
contre la nuit
les néons
contre la pluie
les cafés
mieux qu'une prairie
l'asphalte
nœud
tranché
pas défait
sur la peau du monde
une cicatrice