Sur X, #LePoèmeDéphasé change de phase (tiens ?... comme la lune) :
Et @HenriChevignard continue d'alimenter le #RebondPoétique :
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Sur X, #LePoèmeDéphasé change de phase (tiens ?... comme la lune) :
Et @HenriChevignard continue d'alimenter le #RebondPoétique :
Après 384 strophes, notre poème poursuit son déphasage, mais aligné sur d'autres lunes.
Quant aux rebonds poétiques, toujours incessants et imprévisibles !
C'est sur X... hum, disons plutôt Twitter : @HenriChevignard.
Du nouveau sur le réseau zozio : @LePoemeDephase ne gazouille plus (les archives chantent encore !).
Mais Le Poème Déphasé poursuit son vol chez @HenriChevignard sous la rubrique #LePoèmeDéphasé, avec un gazouillis tôt le matin.
Comme par exemple ici :
Les vents sont capricieux et l'activité s'est peu à peu deplacée vers Twitter ces derniers temps...
Disons que les deux terrains de jeu sont complémentaires.
Rappelons qu'il y a, sur le réseau social musqué, le compte @HenriChevignard où l'on peut voir des choses commes ceci :
... et aussi @LePoemeDephase, où l'on peut voir des choses comme cela :
Et pendant ce temps-là, Sur du vent continue ! De quoi faire
une bonne année !
L'urgence, pour entendre le monde et tous ses vivants, n’est pas de se taire (même si dans certains cas ce serait déjà pas mal) mais d’exercer avec soin ses responsabilités de vivants parlants, car la manière dont on parle (et dont on se parle) du monde, dans le monde, compte pour le monde.
Marielle MACÉ, Parole et pollution, AOC
Extrait de la grille des programmes de France Musique aujourd'hui :
Soit la grève, soit l'ensemble Huelgas qui en espagnol signifie..."grèves" !
Un autoportrait dessiné dans le miroir représente son visage sous un angle similaire à celui des photographies. Cette nouvelle série l’amène à mettre en place un protocole jamais encore employé dans l’histoire de la photographie : pointer l’objectif vers son visage en tenant l’appareil à bout de bras.
Edvard Munch - L'œil moderne 1900-1944, Dossier pédagogique, Centre Pompidou
En 1841, M. Tripot de Paris déposa un brevet pour fabriquer du papier "à partir de la fiente de tous les animaux herbivores". Cette idée fut reprise par M. Jobard (directeur des Arts et Métiers de Bruxelles). Il estimait que la paille et le foin avaient déjà subi une première trituration sous la dent et dans l’estomac des chevaux. "Le crottin, disait-il, est en grande abondance : on peut obtenir de chaque cheval un kilogramme de papier par 24 heures ; une seule caserne de cavalerie suffirait à la consommation du Ministère de la guerre. Il est étonnant que l’on n’ait pas songé plus tôt à cette matière…"
Wikipédia, article Papier.