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aube - Page 2

  • Ramón GÓMEZ de la SERNA : SURPRIS par l'AUBE


    La nuit s'attarde longtemps dans l'usine du travailleur intellectuel... Mais l'aube vient jusque là et la confisque.

    Ramón GÓMEZ de la SERNA, L'Aube, à paraître chez André Dimanche.

     

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  • GÓMEZ de la SERNA : l'ANGOISSE de l'AUBE


    Comme les pages deviennent vides et profondément blanches dès qu'elles sentent l'aube ! Elles deviennent pâles de terreur car voilà qu'arrive ce qui dément leur mensonge, le mensonge selon lequel elles sont remplies mêmes quand elles sont blanches.

    Ramón GÓMEZ de la SERNA, trad. J.Ancet, à paraître chez André Dimanche.


     

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  • Gaston PUEL en St LAZARE

     

    Lazare

    J'habitais un corps lézardé. Il dut se fendre d'un coup : je reçus l'aube comme un baquet d'eau fraîche.
    Quand la nuit n'est qu'une lie et que le regard n'ausculte que l'abîme, quel bonheur (je suis sûr de ce mot) de se hisser hors de la margelle ! Les mains meurtries touchent l'huile du jour ; le visage s'élance, plus léger que les jambes.
    Est-ce l'innocence du matin ? La grâce d'un fruit cueilli ? Je ne sais, je ne saurai jamais. Mon cœur bat dans un homme étonné de se savoir en vie. Cela ressemble à un secret.


    Le Cinquième Château, Éd. La Fenêtre ardente


     

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  • AUBES

    Les intuitions des poètes concordent parfois.


    Ainsi, de Marcel PELTIER,  le court

    aube

    les choses se nomment

    renvoit au dernier distique d'un poème de Georges JEAN

    Et le jour ouvre nos lèvres

    Et les mots entrent dans les choses.


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