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GÓMEZ de la SERNA : l'ANGOISSE de l'AUBE


Comme les pages deviennent vides et profondément blanches dès qu'elles sentent l'aube ! Elles deviennent pâles de terreur car voilà qu'arrive ce qui dément leur mensonge, le mensonge selon lequel elles sont remplies mêmes quand elles sont blanches.

Ramón GÓMEZ de la SERNA, trad. J.Ancet, à paraître chez André Dimanche.


 

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Commentaires

  • Ah ! Ramon Gomez de la Serna ! c'est Michel Cardoze qui le rendit populaire à travers le bulletin météo... (Tu es beaucoup trop jeune pour t'en souvenir...)

  • Que nenni ! Il me souvient fort bien de l'homme aux moustaches enneigées.

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