fleur
aux vents de Dublin
et le long des caniveaux
du cerveau
tellement amère
Charybde et Scylla
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fleur
aux vents de Dublin
et le long des caniveaux
du cerveau
tellement amère
Charybde et Scylla
Qui voudrait encore de cette éternité béate, si proche d'être béante, sans fond, de ces paysages labourés du pas de blanchâtres licornes, de sourires sans dents, qui croqueraient les pommes sinon, des clairières, sans ombre pour que la connaissance jamais ne s'y laisse manger, embarrassées pourtant de feuillage pour empêcher les corps ?
commencer petit
graine
gangrène
finir déforesté
amputé
bien né
à la bouche
le couteau en argent
du beurre
et le sourire
lieu-dit
de la parole
murmurée
la peine
d'inscrire son nom
devant son premier mur
la plus grande réserve
du chameau
dans son omoplate
gravée
de paroles
pour la soif
comme dans le Livre
ne pas lire
interpréter
rameau
sorti des eaux
eau dormante
d'octobre
la rivière
bordée d'ormes
d'or