trahison
de l'orme
en novembre
jaune
de printemps
tel Judas
sous les oliviers
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trahison
de l'orme
en novembre
jaune
de printemps
tel Judas
sous les oliviers
pensées
sans suite
déconcertantes
excitées
comme au printemps
de cet Igor
Da 7
Quatre bêtes passent, comme nées d'un mirage
comme venues de la nuit, en vision
Non pour courir le monde
Leur pelage se couvre d'écailles, leurs mâchoires à présent recherchent la chair, des ailes de faucon se forment pour la chasse
Elles passent, d'un règne à un autre, les violant tous
Ni l'admirer
Rejets de leurs cornes, des yeux pointent, pour transpercer
si j'avais...
en tête ce marteau
ces dromadaires
ou ces millions
ce cheval
(et donc plus de royaume)
l'âge mûr
compliqué de ronces
après le chapardage des mûres
le froid
après le frais soleil
on prend ombrage
les nues couchées
encore
au Levant
traînées
au lit du ciel
la campagne
grasse
cases horaires
à cocher
espace à occuper
des journées d'abeilles
dans un miel d'illusion
débrayage
combustible
sous le capot
braise éteinte
des regards
au feu rouge