les nues couchées
encore
au Levant
traînées
au lit du ciel
la campagne
grasse
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les nues couchées
encore
au Levant
traînées
au lit du ciel
la campagne
grasse
cases horaires
à cocher
espace à occuper
des journées d'abeilles
dans un miel d'illusion
débrayage
combustible
sous le capot
braise éteinte
des regards
au feu rouge
les briques
du nord
d’un rouge de drapeau
à casser
sur le dos d’un horizon
peu sucré
2 R 7
Des fenêtres dans le ciel
ça n'existe pas, ni la farine et l'orge pour deux fois rien
Ou des dents aux poules
des calendes grecques
Ou peut-être à Bruxelles l'a-t-on vu, sous son air d'autrefois, surréel
L'azur était franc, mais les nuages facétieux, ainsi que les chapeaux, les pommes, les arbres
Les portes, aussi, n'ouvraient que sur des chausses-trappes, des rêves, obstrués de murs de briques
Puis une porte, non le ciel, tombe sur la tête de l'incrédule et l'écrase
enfoncée, non par l'ennemi, mais par la promesse du bon grain
et la précipitation de la foule, sous la lourde main de Dieu
lit bordé
de la providence
sans espoir de crue
où racheter ses bras
à l’enfer
harmonium
petite boîte
à extase
soufflé
des dimanches
petits plats
Radieuse du déclin du jour, aspirant à la surface où se dérobe sa mousseline pour que se précipitent mieux les lèvres, dans le sein de son ambre, dans le temple de son or, la bière étincelle d'invites canailles, sitôt sa bure oubliée, sitôt dévêtue de son fût. Belle aux vainqueurs et consolante aux défaits, elle promet de danser sur l'acajou comme sur le formica.