diagonale
de l'air
d'entre les nuages
couleurs
en dehors
tout léger
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diagonale
de l'air
d'entre les nuages
couleurs
en dehors
tout léger
mode
passée
avant les couleurs
blanchiment
des goûts
cycle court
Palette infinie que cette horloge réglée sur l'année, ses couleurs éployées en fougères sur les 360 degrés d'une révolution totale dépassant œillets et jasmins, où chaque éclosion, chaque pourrissement retentissent coucou intempestif, comme les fûts résonnent de toutes les gammes d'un gamelan sous les doigts d'un crachin ou les lourds bâtons des averses d'août.
courants d’air
malgré les paupières closes
couleurs en excès
des feuilles mortes
de l’insomnie
tente berbère
ouverte
sur l'est
pics de couleurs
puis l'horizontalité
du jour
Couplets
droit sortis de leurs alvéoles
en armées crochues d'uniformes couleurs
les foules s'hypnotisent de ce Reich
pacifique
qui sape les ruines
pour relever des palais
fait remonter les sables
aux vitraux
aux miroirs brisés
Même au milieu du désert, toutes fleurs absentes, il y a des couleurs qui pointent, un cœur qui bat
qui prêche que sève et sang, par toutes les artères, par tous les vents de la rose, nourrissent le monde
Et la fleur qui manque ici offre son sourire, à l'antipode de notre hiver, à des cœurs étrangers
note unique du triangle
sept couleurs à l'arc
plus une entre chaque
infiniment