Je sais qu'en japonais "plagiat" se dit "deuxième infusion" (niban senji), que "ce geste m'a échappé" se dit "les alentours de ma main sont devenus fous" (te moto ga kurutta), qu'on décrit un importun comme "une bosse au-dessus de l'oeil", que ces images sont étrangement parlantes.
Ito NAGA, Je sais, Cheyne, 2006.