Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • STEAK BARBARE


    La suggestion du jour: steak
    Pour les végétariens: pastèque


    ▶︎ Vent du jour : Langue française ▶︎ 1 vent(s) de la plaine Lien permanent
  • PRINTEMPS LEVE-TOI BIEN VITE

    Comme sous le clairon du forsythia
    au pas de l'oie le printemps se radine

    D'une même immodestie
    un botaniste lui légua son patronyme


    ▶︎ Vent du jour : Langue française ▶︎ 0 vent(s) de la plaine Lien permanent
  • NOM de DIEU

    Du dernier REDA:

    "Chaque soir, aux grands arbres noirs, mon église assemblée
    Accroche des fruits d’encre et, pour le Qui-n’a-pas-de-nom,
    Broie et fait écumer sa diphtongue dans un vacarme."

    On l'entendrait vibrer d'ici, ce murmure un peu sinistre.


    ▶︎ Vent du jour : Langue française ▶︎ 0 vent(s) de la plaine Lien permanent
  • Il y a HOTESSE et HOTESSE

    Maintenant que l'on a fait des caissières des hôtesses de caisse, je préconise que toutes les barrières se changent en hôtesses de bar!

    ▶︎ Vent du jour : Langue française ▶︎ 0 vent(s) de la plaine Lien permanent
  • La CHOUETTE et le MARIN

    Selon Georges HENEIN, "écrire est une façon de veiller.
    De veiller sur soi et de veiller tout court. A rêves déployés.
    Une chance de rester pur. Ou moins impur".

    Le retrait et l'acuité de la chouette.

    Puis, la poésie "est vouée à la recherche inquiète et incessante de l'autre lieu, elle ne peut choisir pour halte ni pour demeure le centre de gravité d'un monde pareil à un énorme chantier."

    L'exaltation de la terre inconnue, et le mépris de celle que déjà l'on travaille.


    ▶︎ Vent du jour : Littérature ▶︎ 0 vent(s) de la plaine Lien permanent
  • PASSE-MOI le POEME

    "Le poète est celui qui fait briller le sel dans les mots".


    (Henri HEURTEBISE)


    ▶︎ Vent du jour : Poésie ▶︎ 0 vent(s) de la plaine Lien permanent
  • EXTRAIRE des VERS

    D'un poème d'Henri HEURTEBISE, à propos d'une activité de saison.


    "J'ai travaillé au milieu des feuilles et de l'air. J'étais parfois lumineux.
    J'ai pressé, j'ai tiré, j'ai recouvert de terre, aux prises avec la résistances des masses vertes et luisantes.
    J'ai aimé ça."


    Les poètes seraient-ils un peu bêcheurs?
    Les mauvais, oui. Les autres préfèrent élaguer.


    ▶︎ Vent du jour : Poésie ▶︎ 0 vent(s) de la plaine Lien permanent