4, ligne
Encore quelques pouces avant la ligne et mes doigts s'agrippent à se tordre, quelques coudées et mes jambes se crispent comme s'il fallait à la roue pousser ce chariot de muscles contrariés, un souffle et mes poumons se gonflent en cornemuse de tout l'air à répandre en onde de choc en un hymne rescapé des heures où l'Histoire fait d'une pauvre terre une promesse éternelle.