Borgés prétendait que la lecture est un art supérieur à l'écriture. En effet, il ne voyait l'écriture que comme un réemploi des écrits précédents.
Au Japon, KYOSHI avait une vision similaire. A propos des "kukaï", assemblées de poètes au cours desquelles les haïkus sont classés et débattus sous couvert d'anonymat, il indiquait que choisir un bon haïku était aussi important que l'écrire.
Borgés
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BORGES et KYOSHI: l'art de lire
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L'art de lire selon BORGES
Selon Borgés, l'art de lire serait supérieur à l'art d'écrire, et même, le déterminerait. L'écrivain ne serait qu'un collecteur, recyclant les textes qui l'ont précédé, pour en mettre d'autres au jour, qui lui succèderont.