Relâchés sur le sable où se cristalisent des heures identiques, ou fiévreux sur les pierres roulant sur des horizons neufs, nos pieds recherchent dans ces journées édéniques la simplicité perdue quand la précipitation martèlera la chape des villes, et toute notre peau sous l'œil brûlant du sel et la caresse de l'air rosé ouvrant l'appétit de soirée constitue son nécessaire de cuir pour le trajet de retour.