N'écoute pas ces voix qui ne cessent
de croître au chemin de l'hiver,
les lieux où le corps d'errance
en errance renonce à être corps
sont mortels, n'écoute pas ces voix
où le soleil pourrit, plus jamais.
Eugénio de ANDRADE, Le poids de l'ombre, La différence, 1986.