Les vacances, c'était la grasse matinée. Trois cent vingt jours par an, et davantage, chaque matin, en se levant avec le jour, il se promettait : Quand je serai en vacances, qu'est-ce que je me payerai comme sommeil !
Georges SIMENON, Les Vacances de Maigret, Presses de la Cité, 1948.
Et ce n'est pas la lecture de la presse cet été qui lui fera lever une paupière :
Sexe, argent, pouvoir : mais que fait le Quai des Orfèvres ?