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L'ÉCRIT, PÈRE de L'OUBLI

 

 

Par sa fixité, l'écrit nous rassure, tandis que la parole, volatile, n'est pas digne de confiance.

Pourtant, dans le Phèdre, PLATON avait les préventions inverses, propres à son époque, comme l'expose Jean-Pierre VERNANT:

« Platon, déplorant l'invention de l'écriture, indique qu'en substituant à l'effort propre de la remémoration la confiance en des empreintes extérieures à l'esprit, elle permettra à l'oubli de s'introduire dans l'âme par absence d'exercice de la mémoire ».

 

 

 

 

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