Pas comme ces forcenés le regard captif du capiton de leurs écrans, avides de surplomber le troupeau, mais à la façon de ces chiens de berger qui dédaignent l'os à ronger dans leur obstiné besoin de travailler, de contraindre aux jarrets la chair vivante tendue vers un but toujours opposé diamétralement, j'applique ma mâchoire à contrer sa résistance, saisir ce qui s'échapperait sinon.
Besoin de travailler.