Chiens tirés du caniveau, élevés à droit de cité, où Baudelaire promenait ses regards
bien plus que sur les chats, qui gaspillent leur éternité sur les velours d'un photographe
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Chiens tirés du caniveau, élevés à droit de cité, où Baudelaire promenait ses regards
bien plus que sur les chats, qui gaspillent leur éternité sur les velours d'un photographe