4, trajectoires
Sous la force magnétique des seuils, paradoxal le chien veille, compliqué des trajectoires de la maisonnée, à l'affût des caresses de l'instant, affolants biscuits de survie, ou ferré museau bas par des voies invisibles, ou si tourmente se lève, aveuglé de résonances blanches, ou fidèle à mon pas, souple fougère léchant la présence de toute chose.
Commentaires
- Milou en février ?... (Michel Piccoli)
(Tes quatre poèmes ne manquent pas de chien...)
Le Titien aboie, le Caravage passe...