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Henri MESCHONNIC : par la FENÊTRE

je ne savais pas que la fenêtre
ouvrait le monde
ouvrait mon corps au monde
que la fenêtre était une
telle joie
que tout mon corps
en est la reconnaissance
où il n’y a plus de différence
entre les yeux fermés 
et les yeux ouverts

                                         
Henri MESCHONNIC, L’Obscur travaille, Arfuyen, 2011


 

fenêtre,colmar,

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Commentaires

  • Souvent, quand on nous prend en photo, on ne sait pas où mettre ses mains...

  • Cela n'a pas empêché le succès de la Marche de l'Empereur !

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