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Bernard CHAMBAZ : CONSENTIR à l'OBSCUR

marcel wanders,lampe,

Lampe de Marcel WANDERS au Stedelijk Museum d'Amsterdam

 

Ce faisant, je reconnais la volonté et le besoin d'être clair, entendu quand je lis ou quand on me lit, compris ou pas compris c'est sans doute autre chose, moi je lis la poésie comme le journal, et en même temps il est nécessaire de consentir à l'obscur, à des zones plus opaques, faire que le poème advienne, qu'en quelques lignes on voie apparaître tout ce qui tient à un fil.

Bernard CHAMBAZ, Eté, Flammarion, 2005.

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Commentaires

  • Osons l'oxymore avec "cette obscure clarté qui tombe des étoiles..."

  • Celui-là vaut bien un coup de cid'.

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