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FRENAUD : sur la ROUTE AUSSI


 

Sur la route

Douce détresse de l’automne,
des abois très lointains,
une échauffourée de nuages, comme un remuement
de souvenirs qui se cachent.
Et la lisière des peupliers pour donner figure
à la lumière qui va venir


André Frénaud
, Nul ne s’égare, précédé de Haeres, Poésie/Gallimard, 2006.

 

 

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