À CEUX QUI
SUR UNE RIVE
OUVRENT LA BOUCHE PAR GRAND VENT
ET CRIENT
DES PAROLES D'AMOUR,
avalées aussitôt par le souffle,
tandis que de l'autre côté du fleuve
se lisent d'immenses publicités sur les buildings.
Marie-Claire BANCQUART, Terre Énergumène, Le Castor Astral, 2009.
À chacun sa rive, à chacun sa dérive...