Poursuivons notre lutte contre un des préjugés les plus récurrents sur les poètes, qui seraient toujours dans la souffrance :
Pour avoir droit à s'exprimer, le désespoir doit être alchimisé. Le poète doit suer sa sueur de neige.
Merci à Silvaine ARABO pour cette formulation recherchée, exprimée dans le n° 44 de Poésie Première.
Et merci à tous les poètes que cela tenterait, de ne pas se trancher les veines devant leurs lecteurs.