Vu "Le vent nous emportera", le film d'Abbas KIAROSTAMI.
Apprécié de voir confirmés les propos de Nicolas BOUVIER sur la présence de la poésie dans l'âme iranienne.
Qu'on soit professeur on berger, on peut faire surgir un poëme dans n'importe quelle conversation, il trouvera toujours un écho.