S'il faut au vacarme de toute une batterie couper, presser, dénerver, fouetter, trancher, la cuisine n'est pas ma place, ou tout au plus pour caresser d'un frémissement les feuilles de thé, dévêtir la pomme jusqu'au silence le plus cru de sa chair, sans le sang ni le feu dont se pourlèche ordinairement l'homme dans le combat qu'il inflige à la nature pour la posséder par la loi de sa mâchoire.
Pas ma place.