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  • OBALDIA en PLEINE SANTÉ

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    La Médiathèque Louis Aragon du Mans a principalement le mérite d'exister. Pour le reste, elle se contente de mettre à disposition des ouvrages dans un état de fraîcheur souvent plus que douteux.

    Et quoiqu'elle dise, la santé de René de OBALDIA n'est pas si mauvaise. À 92 ans, Monsieur le Comte serait même vert comme son habit !


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  • OBALDIA : l'AMOUR qui RAMONE


    ...[le ramoneur] m'avoua qu'il passait ses nuits à lire des lettres d'amour calcinées, les plus bouleversantes, les plus terrifiantes, les plus étonnantes, celles que le destinataire ne reçoit jamais, jamais ; celles qu'aucune créature n'ose jeter à la boîte, des lettres qui dépassent l'entendement, d'une sexualité épique, des lettres brûlées par les mots eux-mêmes, et que toute autre littérature lui paraissait inexistante à ses yeux, mensongère, exsangue, interchangeable, tout juste bonne à de pauvres petites culottes courtes de ton espèce...

    René de OBALDIA, Le Centenaire, Grasset, 1960.

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  • OBALDIA : FIDÈLE aux POSTES

     

    Je rallume. Trois heures sept. Il fera jour dans quelques heures, le Calendrier des Postes l'affirme. Le Calendrier des Postes mentionne les marées d'équinoxe durant lesquelles les sauveteurs bretons gagnent leurs médailles.

    René de OBALDIA, Le Centenaire, Grasset 1960.

     

    Au reste, préparez votre petit billet car, la nuit tombée, les ruelles pullulent de postiers et autres pompiers ou éboueurs en mal d'étrennes.

     

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