FLAUBERT, imprégné de culture classique et convaincu de la magnificence de l’âge antique, notait dans sa Correspondance que :
« le grec moderne est tellement mêlé de slave, de turc et d’italien, que l’ancien s’y noie ».
Vilipender ainsi la modernité revient à exégérer le prix de l’ancien.
Car le grec, lorsqu’il est trop vieux, pose aussi problème, principalement à l’appareil digestif, et surtout si le mouton n’a pas été suffisamment cuit.