Une dimension semble perdue et ne subsiste que l'infini des profils allongés en huit dans un paysage de naufrage où les profondeurs même s'aplatissent en un théâtre qui ferait glisser ses comédiens sur le rideau, composant à eux tous un manteau d'Arlequin. Les sons aussi sont engloutis, et nous voici béats face à l'aquarium où le temps se consume encore, même si le sable repose.