
Quand les fenêtres comme l'œil du chacal et le désir percent l'aurore, des treuils de soie me hissent sur les passerelles de la banlieue.
André BRETON, Clair de terre, Gallimard, 1966
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Quand les fenêtres comme l'œil du chacal et le désir percent l'aurore, des treuils de soie me hissent sur les passerelles de la banlieue.
André BRETON, Clair de terre, Gallimard, 1966
Commentaires
Sacré Dédé ! toujours aussi perçant...
Dans ta ville natale (Tinchebray, dans l'Orne), tu as maintenant une rue qui porte ton nom et une belle plaque qui indique que tu "cherches l'or du temps". En revanche, toujours pas de carte postale signalant ton bref passage...
À chercher l'or du temps, on néglige les timbres.
(oui, oui... c'est du 12 !)