Radieuse du déclin du jour, aspirant à la surface où se dérobe sa mousseline pour que se précipitent mieux les lèvres, dans le sein de son ambre, dans le temple de son or, la bière étincelle d'invites canailles, sitôt sa bure oubliée, sitôt dévêtue de son fût. Belle aux vainqueurs et consolante aux défaits, elle promet de danser sur l'acajou comme sur le formica.
Commentaires
Sans faux-col ni parti pris, ta prose devient pongienne... Bravo, Henri !
Une vraie e-ponge !