Par les mouvements du yoga, j'aère la chambre de mon thorax
non comme celle bleue de pauvre Vincent, à grands coups de brosse
prise dans la vague d'un autre bout du monde, où même le volcan semble un enfant
où, sous l'inspiration d'un papillon, les blés d'ici se couchent
mais j'accueille ces flux d'eau et de ciel, expulse ceux des corbeaux
à l'intelligence menaçante pour le cercle de mon souffle
en équilibre sur le fil de l'absence