Jean MINIAC a livré à la revue N4728 pour son numero 15, des ruminations supposées s'extraire de l'esprit de Jean-Sébastien BACH:
« C'est l'histoire de ma fugue, arbitrairement séparée en épisodes distincts pour épouser le temps humain alors qu'en fait, elle l'outrepasse, elle n'a pas de fin.
Si tu veux porter les bribes de ton existence à cette autre dimension, alors rejoins-moi. Je ne suis pas juché très haut. Les yeux de l'amour contemplent le clavier tandis que les pieds ébranlent les cordes de la terre. »