Chemin perdu, défile hors cadre une galerie de visages de hasard, d'un plein abécédaire s'élance un labyrinthe de déliés en rinceaux, crinière au vent les idées se patinent de noir les aiguilles se libérant du fil de leur trot. Les yeux se sont chargés de cailloux, volés au lit d'une rivière entre hier illuminé de truites et demain alenti de brouillards deltaïques.
Commentaires
Le GPS ne doit pas être à jour...
Le Gestionnaire de la Profondeur du Sommeil ?...