C'est grand dommage qu'il n'y ait plus aujourd'hui ni possédés, ni magiciens, ni astrologues, ni génies.
On ne peut concevoir de quelle ressource étaient, il y a cent ans, tous ces mystères. Toute la noblesse vivait alors dans ses châteaux. Les soirs d'hiver étaient longs ; on serait mort d'ennui sans ces nobles amusements.
VOLTAIRE, Dictionnaire philosophique, 1764.