En préface à l'Âge d'Homme, en 1946, Michel LEIRIS voit la littérature comme une tauromachie.
Tout à son art, l'écrivain se livrerait au point de s'exposer au lecteur comme à la corne d'un taureau.
Ainsi, les Académiciens Français, poussés par une intuition semblable, ont pris l'habitude de porter l'épée.
...et d'assomer leurs lecteurs.