L'écrivain Célia HOUDART raconte ici que, dans les temps antiques, on disait d'un texte un peu besogneux, accouché par son auteur dans la douleur, qu'il sentait l'huile.
On n'écrit plus à la lampe à huile de nos jours et c'est un grand progrès : les mauvais auteurs ont désormais un style ampoulé.
Commentaires
Des noms ! des noms !...
Pas de noms, même si on me graisse la patte.